Les dirigeants participants aux Sommets extraordinaires de Ryad condamnent l’agression brutale israélienne contre le peuple palestinien
Les dirigeants participants aux Sommets extraordinaires de Ryad ont condamné l’agression brutale israélienne contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza et en Cisjordanie et affirment, dans le communiqué final sanctionnant leurs travaux, leur engagement à affronter ensemble cette agression et la catastrophe humanitaire qu’elle provoque.
Voici l’intégralité du communiqué
“Nous, dirigeants des États et gouvernements de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) et de la Ligue arabe exprimons notre position commune en condamnant l’agression brutale d’Israël contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, y compris à Al-Qods Al-Sherif. Nous affirmons affronter ensemble cette agression et la catastrophe humanitaire qu’elle provoque. Nous cherchons à arrêter et à mettre fin à toutes les pratiques illégales israéliennes qui perpétuent l’occupation et privent le peuple palestinien de ses droits, en particulier de son droit à la liberté et à avoir un État souverain indépendant sur tout son territoire national.
Nous exprimons nos remerciements au Gardien des Lieux Saintes, le Roi Salmane ben Abdel Aziz Al Saoud, Roi du Royaume d’Arabie Saoudite, et à Son Altesse Royale le Prince Mohamed ben Salmane ben Abdel Aziz Al Saoud, Prince héritier et Premier Ministre, pour leur généreuse hospitalité.
Nous réaffirmons toutes les résolutions de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) et de la Ligue arabe concernant la cause palestinienne et tous les territoires arabes occupés.
Nous rappelons toutes les résolutions des Nations Unies et d’autres organisations internationales concernant la cause palestinienne, les crimes de l’occupation israélienne et le droit du peuple palestinien à la liberté et à l’indépendance dans tous ses territoires, qui sont occupés depuis 1967 et constituent un seul territoire géographique.
Nous saluons la résolution A/ES-10/L.25 de l’Assemblée générale des Nations Unies adoptée lors de la dixième session d’urgence le 26 octobre 2023.
Nous affirmons le caractère central de la cause palestinienne et notre position, avec tous nos pouvoirs et capacités, aux côtés du peuple palestinien frère dans sa lutte légitime pour libérer tous ses territoires occupés et pour faire valoir tous ses droits inaliénables. Cela inclut notamment leur droit à l’autodétermination et à vivre dans leur État indépendant et souverain aux frontières du 4 juin 1967 avec Al-Qods Al-Sherif pour capitale.
Nous réaffirmons qu’une paix juste, durable et globale, qui constitue une option stratégique, est le seul moyen d’établir la sécurité et la stabilité pour tous les peuples de la région et de les protéger des cycles de violence et de guerres. Nous le soulignons, cela ne sera pas possible sans mettre un terme à l’occupation israélienne et sans résoudre la cause palestinienne sur la base de la solution à deux États.
Nous affirmons qu’il est impossible de parvenir à la paix régionale en négligeant la cause palestinienne ou en tentant d’ignorer les droits du peuple palestinien. Nous soulignons que l’Initiative de paix arabe, soutenue par l’Organisation de la coopération islamique, constitue une référence essentielle à cette fin.
Nous tenons Israël, la force occupante, pour responsable de la poursuite et de l’aggravation du conflit, qui est le résultat de sa violation des droits du peuple palestinien et des valeurs sacrées islamiques et chrétiennes. C’est également le résultat de ses politiques et pratiques agressives systématiques, de ses mesures unilatérales illégales qui perpétuent l’occupation, violent le droit international et empêchent la réalisation d’une paix juste et globale.
Nous affirmons qu’Israël et tous les pays de la région ne connaîtront pas la sécurité et la paix tant que les Palestiniens ne jouiront pas et ne retrouveront pas tous leurs droits spoliés. Nous soulignons que la poursuite de l’occupation israélienne constitue une menace pour la sécurité et la stabilité de la région ainsi que pour la sécurité et la paix internationales.
Nous condamnons toutes les formes de haine et de discrimination, ainsi que tous les actes qui perpétuent la haine et l’extrémisme.
Nous mettons en garde contre les répercussions désastreuses des agressions d’Israël contre la bande de Gaza, qui constituent un crime de guerre, ainsi que des crimes barbares commis également en Cisjordanie et à Al-Qods Al-Sherif.
Nous mettons en garde contre le danger réel d’une expansion de la guerre en raison du refus d’Israël de mettre fin à son agression et de l’incapacité du Conseil de sécurité à faire respecter le droit international pour mettre fin à cette agression.
Nous décidons de :
– Condamner l’agression israélienne contre la bande de Gaza et les crimes de guerre ainsi que les massacres barbares, inhumains et brutaux commis par le gouvernement d’occupation colonial contre la bande de Gaza et le peuple palestinien en Cisjordanie occupée, y compris à Al-Qods-Est. Nous exigeons la cessation immédiate de cette agression.
-Refuser de décrire cette guerre de représailles comme de la légitime défense ou de la justifier sous quelque prétexte que ce soit.
-Refuser de décrire cette guerre de représailles comme de la légitime défense ou de la justifier sous quelque prétexte que ce soit.
– Briser le siège de Gaza et imposer l’entrée immédiate des convois d’aide humanitaire arabes, islamiques et internationaux, y compris de la nourriture, des médicaments et du carburant, dans la bande de Gaza. Nous appelons les organisations internationales à participer à ce processus, en soulignant la nécessité de leur entrée dans la bande et de la protection de leurs équipes pour leur permettre de remplir pleinement leur rôle. Nous affirmons la nécessité de soutenir l’Agence de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA).
– Soutenir toutes les mesures prises par la République arabe d’Égypte pour faire face aux conséquences de la brutale agression israélienne contre Gaza. Nous soutenons ses efforts visant à apporter une aide dans la bande de Gaza de manière immédiate, durable et adéquate.
-Nous appelons le Conseil de sécurité des Nations Unies à prendre une résolution décisive et contraignante qui impose la cessation de l’agression et freine l’autorité d’occupation coloniale qui viole le droit international, le droit international humanitaire et les résolutions de légitimité internationale, dont la dernière en date est la résolution n° 1 de l’Assemblée générale des Nations Unies A/ES-10/L.25 du 26/10/2023. L’inaction est considérée comme une complicité qui permet à Israël de poursuivre son agression brutale qui tue des innocents, des enfants, des personnes âgées et des femmes, et transforme Gaza en ruines.
– Appelons tous les pays à cesser d’exporter aux autorités d’occupation des armes et des munitions qui sont utilisées par leur armée et les colons terroristes pour tuer le peuple palestinien et détruire ses maisons, ses hôpitaux, ses écoles, ses mosquées, ses églises et toutes ses capacités.
-Appelons le Conseil de sécurité à adopter rapidement une résolution condamnant la destruction barbare des hôpitaux dans la bande de Gaza par Israël, le blocage de l’approvisionnement en médicaments, en nourriture et en carburant et la coupure de services cruciaux comme l’électricité, l’eau, les communications et l’accès à Internet. Ces actes de punition collective constituent des crimes de guerre au regard du droit international. Nous soulignons la nécessité d’imposer cette résolution à Israël, puissance occupante, pour garantir le respect des lois internationales et mettre immédiatement fin à ces mesures barbares et inhumaines. Nous soulignons la nécessité de lever le blocus qu’Israël impose à la bande de Gaza depuis des années.
– Appelons le Procureur de la Cour pénale internationale à achever l’enquête sur les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis par Israël contre le peuple palestinien dans tous les territoires palestiniens occupés, y compris Al-Qods-Est. Nous chargeons les Secrétariats généraux de l’OCI et de la Ligue arabe de suivre la mise en œuvre de cette enquête et de créer deux unités de surveillance juridique spécialisées pour documenter les crimes israéliens commis dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023. Les unités prépareront ensuite les procédures judiciaires sur toutes les violations du droit international et du droit international humanitaire commises par Israël, puissance occupante, contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza et dans le reste des territoires palestiniens occupés, y compris Al-Qods-Est. Chaque unité soumettra son rapport 15 jours après sa formation pour être présenté au Conseil de la Ligue arabe au niveau des ministres des Affaires étrangères et au Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’OCI. Par la suite, des rapports mensuels doivent être soumis.
– Soutenir les initiatives juridiques et politiques visant à ce que l’État de Palestine tienne les autorités d’occupation israéliennes responsables de leurs crimes contre le peuple palestinien, y compris le processus d’avis consultatif auprès de la Cour internationale de Justice, et permettre au comité d’enquête créé par la résolution du Conseil des droits de l’homme d’enquêter ces crimes sans obstruction.
-Charger les deux secrétariats de créer deux unités de surveillance des médias pour documenter tous les crimes commis par les autorités d’occupation contre le peuple palestinien, aux côtés des plateformes de médias numériques pour publier et dénoncer leurs pratiques illégitimes et inhumaines.
-Désigner le Ministre des Affaires étrangères du Royaume d’Arabie Saoudite, en sa qualité de président du 32ème Sommet arabe et islamique, ainsi que ses homologues de Jordanie, d’Égypte, du Qatar, de Turquie, d’Indonésie, du Nigeria et de Palestine, ainsi que de tout autre pays intéressé, et le Secrétaire général des deux organisations à lancer une action internationale immédiate au nom de tous les États membres de l’OCI et de la Ligue arabe pour formuler une démarche internationale visant à mettre fin à la guerre à Gaza et à faire pression pour qu’un processus politique réel et sérieux aboutisse à une paix globale conformément aux références internationales établies.
-Appelons les États membres de l’OCI et de la Ligue arabe à exercer des pressions diplomatiques, politiques et juridiques et à prendre des mesures dissuasives pour mettre fin aux crimes commis par les autorités d’occupation coloniale contre l’humanité.
-Condamner le double standard dans l’application du droit international ; avertir que cette dualité porte gravement atteinte à la fois à la crédibilité des pays qui protègent Israël du droit international et le placent au-dessus des lois, ainsi qu’à la crédibilité de l’action multilatérale, révélant la sélectivité dans l’application du système de valeurs humanitaires ; et soulignent que les positions des pays arabes et islamiques seront affectées par ces doubles standards qui conduisent à un fossé entre les civilisations et les cultures.
-Condamner le déplacement de près d’un million et demi de Palestiniens du nord vers le sud de la bande de Gaza comme un crime de guerre au sens de la Quatrième Convention de Genève de 1949 et de son Protocole de 1977 ; appeler les parties à la Convention à dénoncer et à rejeter collectivement cette action ; appeler toutes les organisations des Nations Unies à faire face à la tentative des autorités d’occupation coloniales de perpétuer cette misérable réalité inhumaine ; soulignent la nécessité immédiate du retour de ces personnes déplacées dans leurs foyers et leurs régions.
-Rejetons pleinement et absolument, et collectivement, toute tentative de déplacement forcé, individuel ou massif, de déportation ou d’exil du peuple palestinien, que ce soit dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, y compris Al-Qods (Jérusalem), ou en dehors de leurs territoires vers tout autre territoire, la considérant comme une ligne rouge et un crime de guerre.
-Condamner le meurtre et le ciblage de civils, en tant que position de principe fondée sur nos valeurs humanitaires et conforme au droit international et aux principes humanitaires, et souligner les mesures immédiates et rapides que la communauté internationale doit prendre pour mettre fin au meurtre et au ciblage de civils palestiniens, en une manière qui confirme l’équivalence absolue de chaque vie, en rejetant toute discrimination fondée sur la nationalité, la race ou la religion.
-Insister sur la nécessité de libérer tous les prisonniers et civils ; condamner les crimes odieux commis par les autorités d’occupation coloniale contre des milliers de prisonniers palestiniens ; et appeler toutes les nations et organisations internationales concernées à faire pression pour que ces crimes cessent et que les responsables soient poursuivis.
-Arrêter les crimes meurtriers des forces d’occupation, le terrorisme et les crimes des colons dans les villages, villes et camps de réfugiés palestiniens en Cisjordanie occupée et toutes les attaques contre la mosquée Al Aqsa et tous les lieux saints islamiques et chrétiens.
-Insister sur la nécessité pour Israël de remplir ses obligations en tant que puissance occupante en mettant fin à toutes les actions illégales qui perpétuent l’occupation, en particulier la construction et l’expansion des colonies, la confiscation des terres et le déplacement forcé des Palestiniens de leurs foyers.
-Condamner les opérations militaires lancées par les forces d’occupation contre les villes et les camps palestiniens ; dénoncer le terrorisme des colons ; et exhorter la communauté internationale à inscrire ces groupes et organisations sur les listes mondiales du terrorisme, afin que le peuple palestinien puisse jouir de tous les droits accordés aux autres nations, y compris les droits de l’homme, le droit à la sécurité, à l’autodétermination et à la réalisation de l’indépendance de leur État sur leurs terres et à leur assurer une protection internationale.
-Condamner les attaques israéliennes contre les lieux saints islamiques et chrétiens d’Al-Qods et les mesures israéliennes illégitimes qui violent la liberté de culte ; souligner l’importance du respect du statu quo juridique et historique existant dans les lieux saints ; souligner que la mosquée Al Aqsa/Al Haram Al Sharif, avec ses 144 000 mètres carrés, est un lieu de culte réservé aux musulmans, l’Awqaf jordanien et le département des affaires de la mosquée Al-Aqsa étant la seule autorité légitime et exclusive chargée de gérer, maintenir et réglementer l’accès à la mosquée Al Aqsa, dans le cadre de la garde historique hachémite des lieux saints islamiques et chrétiens d’Al-Qods; et soutenir le rôle du Comité Al-Qods et ses efforts pour lutter contre les pratiques des autorités d’occupation israéliennes dans la Ville sainte.
-Condamner les discours et les actions de haine extrémistes et racistes des ministres du gouvernement d’occupation israélien, y compris la menace d’un ministre d’utiliser des armes nucléaires contre le peuple palestinien à Gaza, et les considérer comme une menace sérieuse à la paix et à la sécurité internationales, nécessitant un soutien à la conférence visant à établir une zone exempte d’armes nucléaires et à éliminer toutes les autres armes de destruction massive au Moyen-Orient, dans le cadre des Nations Unies et de leurs objectifs visant à faire face à cette menace.
-Condamner le meurtre de journalistes, d’enfants et de femmes, le ciblage de médecins et l’utilisation de phosphore blanc, interdit au niveau international, lors des attaques israéliennes contre la bande de Gaza et le Liban ; dénoncer les déclarations et menaces répétées d’Israël de ramener le Liban à « l’âge de pierre » ; souligner l’importance de prévenir l’expansion du conflit; et appelons l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques à enquêter sur l’utilisation d’armes chimiques par Israël.
-Insister sur le fait que l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) est le seul représentant légitime du peuple palestinien, et appeler toutes les factions et partis palestiniens à s’unir sous son égide et à assumer leurs responsabilités dans le cadre d’un partenariat national dirigé par l’OLP.
-Mettre l’accent sur l’engagement en faveur de la paix en tant que choix stratégique, visant à mettre fin à l’occupation israélienne et à résoudre le conflit israélo-arabe conformément au droit international et aux décisions légitimes pertinentes, y compris les résolutions 242 (1967), 338 (1973) et 497 (1981) du Conseil de sécurité des Nations Unies, 1515 (2003) et 2334 (2016) ; soulignant l’adhésion à l’Initiative de paix arabe de 2002 dans son intégralité et ses priorités en tant que consensus arabe unifié et fondement de tout effort de revitalisation de la paix au Moyen-Orient. La condition préalable à la paix avec Israël et à l’établissement de relations normales repose sur la fin de l’occupation de tous les territoires palestiniens et arabes. Cela comprend également la création d’un État palestinien indépendant et pleinement souverain, basé sur les frontières du 4 juin 1967, avec Al-Qods-Est comme capitale, le rétablissement des droits inaliénables du peuple palestinien, y compris le droit à l’autodétermination, au retour et à l’indemnisation des réfugiés Palestiniens, résolvant leur problème de manière juste, conformément à la résolution 194 de l’Assemblée générale des Nations Unies de 1948.
– Soulignons la nécessité immédiate pour la communauté internationale de lancer un processus de paix sérieux afin d’établir une solution à deux États qui respecte tous les droits légitimes du peuple palestinien, notamment son droit à réaliser un État indépendant et souverain le long des frontières du 4 juin 1967, avec Al-Qods-Est comme capitale de la sécurité et de la paix aux côtés d’Israël, conformément à la légitimité internationale et au cadre complet de l’Initiative de paix arabe.
-Soulignons que l’incapacité à résoudre la cause palestinienne depuis plus de 75 ans, l’absence de réponse aux crimes de l’occupation coloniale israélienne, ses politiques délibérées sapant la solution à deux États par la construction et l’expansion des colonies, ainsi que le soutien inconditionnel à Israël et sa protection contre la responsabilité, ainsi que le mépris des avertissements continus sur les dangers d’ignorer ces crimes et leurs graves implications sur la sécurité et la paix internationales, ont conduit à une grave détérioration de la situation.
-Rejeter toute proposition qui perpétue la séparation de Gaza de la Cisjordanie, y compris Al-Qods-Est, et souligner que toute approche future à l’égard de Gaza doit s’inscrire dans le cadre d’une recherche d’une solution globale garantissant l’unité de Gaza et de la Cisjordanie dans le cadre de l’accord sur l’État palestinien, qui doit se matérialiser comme une entité libre, indépendante et souveraine avec sa capitale à Al-Qods-Est, aux frontières du 4 juin 1967.
-Appelons à la convocation d’une conférence internationale de paix, dès que possible, à travers laquelle un processus de paix crédible sera lancé sur la base du droit international, de résolutions légitimes et du principe « terre contre paix », dans un délai défini et des garanties internationales, conduisant finalement à la fin de l’occupation israélienne des territoires palestiniens depuis 1967, y compris Al-Qods-Est, les hauteurs du Golan syrien occupé, les fermes de Chebaa, les collines de Kfar Shuba et la périphérie du village libanais d’al-Mari, et la mise en œuvre d’un système de solution à deux États.
-Activer le filet de sécurité financière arabe et islamique, conformément aux décisions de la quatorzième session de la Conférence islamique au sommet et aux résolutions du Sommet arabe, pour fournir des contributions financières et un soutien – économique, financier et humanitaire – au gouvernement de l’État de Palestine et l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés Palestiniens dans le Proche-Orient (UNRWA).
-Soulignons la nécessité de mobiliser les partenaires internationaux pour reconstruire Gaza et atténuer la destruction globale causée par l’agression israélienne immédiatement après sa cessation.
-Charger les Secrétaires généraux de la Ligue arabe et de l’OCI de superviser de près la mise en œuvre de la résolution et de présenter un rapport à ce sujet lors des prochaines sessions de leurs conseils respectifs.AMI