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Fête du Trône : Des avancées considérables sous le règne du Roi Mohammed VI

25 ans après son accession au Trône de ses ancêtres et, au regard des innombrables realisations qu’il a accomplies ces deux dernières décennies au Maroc, notamment dans les domaines socio-économiques et politiques avec un impact positif direct sur la vie des Marocains, force est d’affirmer que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a su hisser le Royaume du Maroc sur le pinacle des pays émergents.

Mieux encore, 25 ans après son intronisation, le Monarque marocain semble toujours avoir de la Baraka et s’en trouve même considérablement renforcé, grâce à la forte union et la communion de pensée entre lui et son peuple dont il a su conquérir le cœur.

Une Baraka qu’il porte en lui et qui lui a permis, en plus de son bon sens, de sa vision claire et de sa détermination, de s’adapter aux exigences du moment, de répondre aux crises démocratiques, financières et sociales par l’ouverture, le dialogue et les réformes.

Et parce qu’il a hérité de l’une des plus anciennes dynasties monarchiques du monde, SM. Mohammed VI, Roi ambitieux et visionnaire, se devait de réussir à sauvegarder les intérêts du Trône et du Royaume, en dépit des multiples crises économiques mondiales dont les plus récentes provoquées par la pandémie du Covid-19 et le conflit russo-ukrainien, de la menace terroriste, du conflit au Sahara, ect.

Il est vrai que, depuis son premier discours d’intronisation, le 29 juillet 1999, le Roi du Maroc avait décrit sa vision d’un Royaume moderne, ouvert, libre et juste, précisant : « Nous sommes extrêmement attaché à la monarchie constitutionnelle, au multipartisme, au libéralisme économique, à la politique de régionalisation et de décentralisation, à l’édification de l’État de droit, à la sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés individuelles et collectives, et au maintien de la sécurité et de la stabilité pour tous. […]. Nous accorderons notre attention également au problème de la pauvreté dont souffre une partie de notre peuple ».

Depuis, Mohammed VI n’a cessé d’agir pour être le plus proche de son peuple, d’être un « Roi citoyen », à l’écoute des attentes de son peuple, conscient que, c’est dans le cœur des Marocains que résident le fondement et la plus solide garantie de son pouvoir.

Ainsi, tout en orientant son attention vers la transformation constructive du Royaume, SM Mohammed VI a apporté de réels changements qui sont visibles dans la rue, dans les mentalités, dans les écoles et la sphère politique. Ce sont des avancées considérables qui ont également touché la constitution pour élargir le champ des libertés individuelles et collectives, ainsi que l’égalité entre hommes et femmes.

Précurseur, tout en restant attaché à ses valeurs culturelles et religieuses, SM. Mohammed VI met en place, en 2004, le code de la famille « El Moudawana » qui devient un nouveau modèle de promotion des droits de la femme.

Plus récemment, le Monarque annonce la nécessité d’étendre la couverture de santé universelle et la protection des personnes les plus sensibles contre le chômage et la maladie.

Un modèle social propre au Maroc qui sera soutenu par la mise en œuvre d’un Nouveau modèle de développement qui place les citoyens au centre des priorités de l’action du gouvernement, Sa Majesté exhortant en même temps, la classe politique marocaine à prendre ses responsabilités envers le peuple pour que la marche politique continue vers plus de justice et d’équité.

Ainsi, la nouvelle Constitution, en plus de rééquilibrer en partie les pouvoirs, place le Maroc dans une gouvernance marquée par la Décentralisation avec une priorité accordée aux régions du Sahara marocain pour lesquels un plan d’envergure a été annoncé pour mettre en avant leur position et leurs atouts stratégiques.

La récente reconnaissance territoriale marocaine sur le Sahara de la part de ses alliés notamment les États-Unis, alors que le Maroc a, déjà, en 2007, proposé un plan d’autonomie institutionnelle comme solution au différend artificiel autour du Sahara, est un coup diplomatique important qui vient renforcer cette détermination à ne renoncer à aucun grain de sable de son Sahara, la Marche verte, du 6 novembre 1975, demeurant, jusqu’à ce jour, un symbole fondateur de l’unité marocaine et de l’unité nationale autour du Roi du Maroc.

Parallèlement à cette politique intérieure réussie, Sa Majesté a mené une politique étrangère qui a été orientée d’abord sur la question du conflit israélo-palestinien, puisqu’il est le président du comité Al Qods et que le Souverain a toujours été à l’avant-garde de l’appui aux droits inaliénables du peuple palestinien à travers une action diplomatique agissante et une action humanitaire sur le terrain.

Cela dit, la diplomatie marocaine ne s’interdit rien : proximité avec les États-Unis, Israël et les pays du Golfe, coopération avec la Chine sur le volet sanitaire, cordialité avec la Russie, et déploiement en Afrique où le Roi Mohammed VI a effectué plusieurs tournées sur le continent, dans le cadre d’une coopération économique renforcée avec les pays d’Afrique subsaharienne.

C’est dire que le Royaume du Maroc est aujourd’hui une puissance continentale, qui a la volonté de s’affirmer comme telle et de construire son système de relations en fonction de ce statut.

MOMAK

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