Attentat contre Donald Trump : chocs et condamnations à travers le monde
La tentative d’assassinat de l’ancien président américain Donald Trump, lors d’un meeting de campagne en Pennsylvanie a choqué les États-Unis et a été condamnée par de nombreux dirigeants mondiaux.
Les dirigeants de plusieurs pays ont exprimé leur choc et leur condamnation de la violence politique, qui attisera encore les tensions à l’approche de l’élection présidentielle américaine.
Au niveau national, le président Joe Biden a déclaré que « tout le monde devrait condamner » la fusillade survenue lors du meeting de campagne de Donald Trump, et a ajouté que ce type de violence n’a pas sa place en Amérique, ajoutant nous devons nous unir en tant que nation pour le condamner ».
Au niveau international, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a condamné « sans équivoque » la tentative d’assassinat, a déclaré son porte-parole Stephane Dujarric, ajoutant que « le secrétaire général a adressé ses meilleurs vœux de prompt rétablissement au président Trump. »
Pour sa part, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est dite « profondément choquée », déclarant via la plateforme X et a souhaité à Donald Trump un prompt rétablissement et présenté ses condoléances à la famille de la victime innocente ajoutant que la violence politique n’a pas sa place dans une démocratie ».
Le président français Emmanuel Macron a souhaité à Donald Trump un « prompt rétablissement » dans un message sur la plateforme X dimanche, qualifiant la tentative d’assassinat de « tragédie pour nos démocraties.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a qualifié dimanche la tentative d’assassinat de l’ancien président américain d’acte ignoble et de méprisable de menace pour la démocratie.
En Grande-Bretagne, le nouveau Premier ministre Keir Starmer a déclaré dimanche qu’il était « horrifié par les scènes choquantes » de la fusillade contre Trump, ajoutant que « la violence politique, sous quelque forme que ce soit, n’a pas sa place dans nos sociétés. »
En Hongrie, le Premier ministre Viktor Orban a déclaré dimanche que ses « pensées et prières » étaient avec Trump.
La première ministre italienne, Giorgia Meloni, a déclaré qu’elle « suivait avec inquiétude » les nouvelles en provenance de Pennsylvanie, souhaité à Donald Trump un prompt rétablissement et a espéré que « le dialogue et la responsabilité l’emporteront sur la haine et la violence dans les prochains mois de la campagne électorale ».
Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau a déclaré que la violence politique n’était « jamais acceptable » après la fusillade visant Trump.
Le président égyptien Abdel Vetah Sissi a également condamné la tentative d’assassinat de Trump, lui souhaitant l’achèvement des campagnes électorales américaines dans une atmosphère pacifique et saine, exempte de toute manifestation de terrorisme, de violence ou de haine. »
Au Japon, le Premier ministre Fumio Kishida a exprimé dimanche son opposition à la violence politique après la fusillade visant Trump.
Kishida a écrit sur Instagram : « Nous devons nous opposer fermement à toute forme de violence qui remet en cause la démocratie. »